Le temps d'union mondiale

Publié le 9 Mars 2010

Par Fabian Charles

19859 485182635229 777130229 11335916 3283980 n-copie-1Les dégâts nous gratifient d’un visage qui ne s’accorde pas à notre mémoire. Nos données qui nous permettent de surveiller, de prévenir, d’accroitre notre vigilance par rapport aux prochains dangers s’amenuise.

Certains changement se font hors des mains de l’homme et tout se décontrôle. Nous sommes spectateurs d’une révolte de la nature qui se concentre sur le fait que les dirigeants politiques se concentrent plus sur la prospérité de leur état que sur la contre-décadence du monde.

Mais ce n’est a personne de les juger, ce qu’ils font est en toute logique le pourquoi de leur rang censé être une position de lutte envers leur propre patrie seul, nous avons remarqué que chez des grands pays le peuple tire leur gouvernement vers l’intérieur lorsqu’il badine trop sur les relations internationales. L’erreur est ici toute faite. Nous sommes au temps ou nous ne pouvons vivre qu’en concertation mondiale. Les volontés d’un peuple quel qu’il soit ne peuvent être concrétisées que si nous influençons sur la marche mondiale des éléments.

Pétris à la une des journaux des dernières semaines par des catastrophes qu" on dit " non-surprenantes le Chili en même temps que la France, Haïti, l’inévitable Japon et la glace enveloppant la flamme de la maison blanche, tout ces pays à l’échelle de leur richesse –profité, profitable et profitant- ce monde de profit que la nature n’épargne pas. Si en effet la relance de chaque pays touché doit se faire le plus localement possible, le long-terme est sur cette échelle de puissance établit depuis 1990.

Les États-Unis ne pourront pas affronter les chambardements du nouveau siècle seuls, Copenhague nous l’a prouvé, il reste a leur président de prouver ses projets de pacification. Le gouvernement mondial doit être au-dessus du partisenship. Mère nature nous force à l’union. L’organisation des nations unies est une unité stérile, il faut plus qu’une force de pacification qui agit là ou cela va mal mais qui le laisse mal parce qu’elle se plie sous l’autorité silencieuse mais évidente des grands, il faut un gouvernement mondial non-diplomate mais concret, plus grand que les grands en vue d’une armée censé aider pour que ca aille bien et barrer les phénomènes astrophysiques.-



Le changement subtil























Ces jours-ci une panique tacite préoccupe les sentiments présents et futurs de chacun de nous. L’attention mondiale est plus que jamais fixée sur un ensemble de catastrophes qui semblent ravager d’un même coup ce monde qui n’est qu’en début d’année. Dit-on, le séisme presque maximale du Chili a changé l’axe temporel de notre planète. Nous perdons désormais du temps, ce qui nous est crucial quand on pense que plusieurs arguments déclament une fin proche.


Récemment, un glissement de terrain en Ouganda provoque la mort de cent hommes et de 400 disparus. Quelques jours avant une tempête faisait l’essor des instruments inutiles et des maisons non ancrés. La secousse du chili qui a suivi la boucherie d’Haïti fait peur, nous sommes à l’intérieur d’un film d’épouvante dont les dégâts ne sont provoqués ni par des dieux ni par des hommes. Cette nature qui au 21eme siècle remplace les totalitarismes concomitants du siècle dernier.

La fin enfin ne s’annonce pas par des catastrophes nucléaires. En s’alliant aux arguments spirituels et aux prévisions avant la lettre des mayas certains scientifiques s’appuient sur des faits atomiques, pour nous prévenir que par des alignements et des astéroïdes non à leurs places que dans deux ans ou seize ans plus tard nous pourrions disparaitre comme des poulets sur un barbecue. Qu’y faire ?



Fabian Charles, Auteur
fabian100e@gmail.com

Rédigé par Parole en Archipel

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